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Erreur 1 : Négliger les spécificités d’une assurance auto dédiée aux véhicules anciens : une erreur à ne pas commettre

Assurer une voiture ancienne ne se fait pas comme pour une auto récente. Il existe des subtilités qui, si elles sont ignorées, peuvent coûter cher en cas de sinistre ou de contrôle. Découvrons ensemble pourquoi il est essentiel de bien comprendre les particularités liées à la couverture des véhicules de collection.

Sommaire

1. Comprendre la différence entre une voiture ancienne et une voiture de collection

Avant toute chose, il faut savoir que tous les véhicules anciens ne sont pas automatiquement considérés comme « de collection ». Voici les critères à prendre en compte :

  • L’âge du véhicule (souvent plus de 30 ans).

  • L’absence de modifications majeures par rapport au modèle d’origine.

  • L’usage non quotidien (plaisir, balades, expositions).

📌 Selon le site officiel de l’ANTS, un véhicule de collection est « un véhicule conservé dans son état d’origine à des fins patrimoniales » (source).

2. Opter pour une couverture standard : une fausse bonne idée

Nombreux sont les propriétaires qui choisissent une protection classique pensant bien faire. Or, une formule classique peut poser problème dans certains cas :

  • Les garanties ne sont pas toujours adaptées à la valeur réelle du véhicule.

  • Certaines assurances refusent les réparations avec pièces d’origine.

  • L’assistance en cas de panne peut être limitée ou inadaptée aux voitures anciennes.

⚠️ Conseil : vérifiez si l’assureur propose une garantie en valeur agréée, qui permet de fixer une valeur convenue dès la signature du contrat.

3. Oublier l’expertise du véhicule : une faille en cas de sinistre

L’une des erreurs les plus courantes est de ne pas faire expertiser son véhicule ancien. Pourtant, cette étape est cruciale pour :

  • Justifier la valeur du bien en cas de vol ou d’accident.

  • Obtenir une indemnisation équitable.

  • Prouver l’authenticité du véhicule face à un assureur.

📌 La Fédération Française des Véhicules d’Époque (FFVE) recommande de faire une expertise tous les 5 ans, ou après une restauration importante.

4. Déclarer un usage quotidien : un détail qui change tout

Certains conducteurs utilisent leur voiture ancienne comme un véhicule principal, ce qui peut poser problème avec certains contrats. Une police d’assurance dédiée aux voitures de collection limite généralement :

  • Le kilométrage annuel (souvent entre 3 000 et 9 000 km).

  • Les trajets autorisés (excluant parfois les trajets domicile-travail).

  • Les conducteurs secondaires.

🚗 Astuce : si vous utilisez votre voiture fréquemment, discutez-en avec votre assureur pour adapter votre contrat sans risquer une exclusion de garantie.

5. Sous-estimer les avantages fiscaux et administratifs liés à un contrat adapté

Une assurance spécifique peut aussi offrir des avantages insoupçonnés :

  1. Tarifs réduits : les assureurs considèrent souvent que ces véhicules roulent peu, donc le risque est plus faible.

  2. Formalités simplifiées : pas de bonus-malus, parfois aucun relevé d’information exigé.

  3. Accès à des clubs partenaires : certains contrats incluent des services exclusifs réservés aux passionnés.

💡 À noter : un véhicule de collection bénéficie d’un contrôle technique allégé (tous les 5 ans au lieu de 2), selon le décret n°2017-208 du 20 février 2017 publié sur legifrance.gouv.fr.

Erreur 2 : Choisir une formule classique au lieu d’une assurance adaptée à un usage occasionnel : une erreur qui peut coûter cher

Lorsqu’on possède une voiture ancienne ou de collection, il peut être tentant de souscrire une assurance auto standard, par simplicité ou par habitude. Pourtant, ce choix peut rapidement s’avérer inadapté, voire désavantageux. L’usage spécifique de ces véhicules mérite une attention particulière et une couverture bien pensée.

Selon le site officiel de l’administration française service-public.fr, les voitures de collection bénéficient de dispositions particulières. Les ignorer, c’est risquer d’être mal couvert ou de payer trop cher. Voici pourquoi il est essentiel de choisir une formule réellement conçue pour un usage occasionnel.

1. Des garanties inutiles pour un véhicule rarement utilisé

Souscrire une formule classique implique souvent de payer pour des services ou des garanties pensées pour une voiture utilisée quotidiennement. Pour un véhicule qui ne sort que quelques fois par an, cela n’a aucun sens.

Exemples de garanties peu pertinentes dans ce cas :

  • l’assistance 0 km, rarement utile si le véhicule reste au garage

  • l’indemnisation pour perte d’usage, conçue pour les véhicules indispensables au quotidien

  • les options liées au prêt d’un véhicule de remplacement

Résultat : vous payez pour des services que vous n’utiliserez probablement jamais.

2. Un coût annuel bien plus élevé qu’une formule spéciale collection

L’un des principaux avantages d’une couverture adaptée est son prix. Les assureurs spécialisés proposent souvent des tarifs très compétitifs, justement parce que ces véhicules roulent peu et sont souvent très bien entretenus.

En moyenne, les économies peuvent aller jusqu’à :

  1. 40 % à 60 % de moins qu’un contrat d’assurance standard

  2. des franchises mieux ajustées

  3. une meilleure prise en compte de la valeur sentimentale du véhicule

💡 À noter : selon les données de la FFSA, les sinistres impliquant des voitures de collection sont nettement moins fréquents, ce qui justifie les tarifs réduits.

3. Une couverture parfois inadaptée aux caractéristiques techniques

Les anciennes mécaniques, les pièces rares ou encore les restaurations sur mesure peuvent être mal évaluées par un contrat classique.

Ce qu’un contrat spécifique peut inclure :

  • une valeur agréée définie à l’avance avec un expert

  • la couverture des pièces de collection et non standard

  • une prise en charge des frais de remorquage vers un garage spécialisé

⚠️ Un contrat traditionnel peut ne pas tenir compte de ces spécificités et rembourser votre véhicule à sa simple cote argus… inexistante pour une voiture de collection.

4. Des restrictions d’usage non prises en compte

L’assurance auto classique part du principe que le véhicule est utilisé pour les trajets courants. Cela peut poser problème si l’on souhaite participer à des rassemblements, expositions ou circuits touristiques.

Une formule adaptée prévoit généralement :

  • des autorisations spécifiques pour les événements automobiles

  • des trajets limités dans l’année mais élargis à certains types d’utilisation

  • des clauses souples liées à l’usage strictement non professionnel

Selon legifrance.gouv.fr, une voiture de collection peut bénéficier d’une carte grise spécifique, limitant de facto certains usages. Il est donc logique que l’assurance suive ces conditions particulières.

5. Un manque de reconnaissance par les experts du secteur

Enfin, les compagnies d’assurance spécialisées dans les véhicules anciens ont une véritable expertise dans ce domaine. Elles proposent un accompagnement personnalisé et comprennent les attentes spécifiques des collectionneurs.

Avantages concrets à passer par un assureur spécialisé :

  • conseils sur l’entretien et la valeur du véhicule

  • collaboration avec des garages experts ou clubs de collectionneurs

  • valorisation de l’histoire du véhicule dans l’évaluation

Comme le souligne la Délégation à la sécurité routière, les véhicules anciens font partie du patrimoine roulant français. Les traiter comme une voiture moderne serait une erreur de perspective.

Choisir une formule classique pour assurer un véhicule de collection revient souvent à opter pour un contrat inadapté, plus cher et moins protecteur. Une formule dédiée à un usage occasionnel, au contraire, prend en compte les spécificités de ces véhicules rares et précieux.

Erreur 3 : Oublier de déclarer les modifications ou restaurations sur le véhicule assuré : une erreur à ne pas commettre

Quand on possède un véhicule ancien ou atypique, on est souvent tenté de le restaurer ou de l’améliorer. Mais une erreur fréquente peut coûter cher : ne pas signaler ces changements à son assureur. Dans cet article, on vous explique pourquoi cette omission peut poser problème, ce que dit la loi, et comment protéger au mieux votre voiture chérie.

1. Quelles sont les modifications à déclarer à votre assureur ?

Dès qu’un élément du véhicule est modifié de manière significative, il doit être déclaré. Cela inclut :

  • les modifications mécaniques (changement de moteur, reprogrammation, échappement sport)

  • les transformations esthétiques (peinture personnalisée, ajout de jantes spécifiques)

  • les ajustements de sécurité ou de confort (freinage, suspension, direction)

  • les restaurations complètes du châssis ou de la carrosserie

📌 À retenir : Même une restauration fidèle à l’origine peut influencer la valeur de votre véhicule, donc l’assurance.

2. Pourquoi déclarer les changements techniques est essentiel

Un véhicule modifié n’est plus exactement celui décrit dans le contrat d’origine. En cas d’accident, d’expertise ou de sinistre, l’assureur peut :

  • refuser d’indemniser

  • appliquer une franchise plus élevée

  • résilier le contrat pour fausse déclaration

Selon l’article L113-8 du Code des assurances, « toute réticence ou fausse déclaration intentionnelle de la part de l’assuré annule le contrat ». (Source : legifrance.gouv.fr)

⚠️ Il ne s’agit donc pas d’un simple oubli, mais d’un manquement juridique grave.

3. Comment évaluer les impacts sur votre contrat d’assurance ?

Une modification peut impacter :

  • le type de contrat proposé (standard, collection, usage occasionnel)

  • le montant de la prime

  • le niveau de couverture

Pour un véhicule restauré avec soin, il peut être judicieux de basculer vers une formule spécifique adaptée aux voitures de collection, qui prend en compte la valeur réelle du véhicule.

💬 « Les assureurs doivent être informés de toute transformation susceptible de modifier le risque assuré », rappelle la DGCCRF (ecologie.gouv.fr).

4. Quelles pièces fournir pour justifier les modifications ?

Pour sécuriser votre contrat et bénéficier d’une couverture optimale, il est recommandé de fournir :

  1. des factures de restauration ou d’achat des pièces

  2. un rapport d’expertise automobile après travaux

  3. des photos avant/après des modifications

  4. un certificat d’homologation si nécessaire (notamment pour les changements majeurs)

🧾 Ces documents renforcent la transparence et facilitent l’indemnisation en cas de sinistre.

5. Comment bien se couvrir après restauration ou amélioration ?

Pour éviter les mauvaises surprises :

  • contactez votre assureur avant de commencer les travaux

  • demandez un recalcul de la valeur du véhicule

  • optez pour une garantie valeur agréée, souvent proposée pour les véhicules rares ou de collection

  • envisagez une couverture tous risques si la valeur du véhicule a fortement augmenté

✅ Astuce : certaines compagnies proposent des contrats spécialisés pour les véhicules restaurés, avec des services sur mesure (rapatriement, expertise annuelle, stockage sécurisé…).

Déclarer toute modification ou restauration est une démarche de bon sens et de sécurité juridique. Cela permet à votre assurance auto de rester conforme à la réalité de votre véhicule, et à vous d’être correctement protégé en toutes circonstances.

Erreur 4 : Sous-estimer l’importance de l’expertise pour évaluer la vraie valeur de la voiture

Évaluer une voiture ancienne n’est pas une simple affaire de coup d’œil ou d’estimation rapide. Lorsqu’il s’agit de protéger un véhicule de collection, l’expertise joue un rôle fondamental. Pourtant, de nombreux propriétaires font l’erreur de négliger cette étape, pensant à tort qu’une évaluation approximative suffit pour souscrire une assurance auto fiable. Dans cet article, découvrons pourquoi cette démarche ne doit jamais être prise à la légère.

1. Pourquoi une évaluation précise est essentielle avant de souscrire une couverture

Un véhicule ancien peut avoir une valeur bien supérieure à celle d’un modèle standard. Son prix dépend :

  • de son état général (restauration, originalité des pièces)

  • de sa rareté sur le marché

  • de son historique (première main, participation à des événements, etc.)

Sans une expertise automobile formelle réalisée par un professionnel agréé, le contrat d’assurance pourrait ne pas couvrir correctement la voiture en cas de sinistre.

Selon l’article L. 211-1 du Code des assurances disponible sur legifrance.gouv.fr, l’évaluation du risque est à la base de toute police d’assurance. Or, un risque mal évalué = une indemnisation souvent décevante.

2. Les risques réels d’une mauvaise estimation de la valeur

Lorsque la voiture est déclarée « sous-évaluée » par l’assureur, cela peut entraîner :

  1. une indemnité largement inférieure à la valeur réelle du véhicule

  2. un refus partiel de prise en charge en cas de vol ou de destruction

  3. un litige long et coûteux avec l’assureur

🛠 Exemple concret : une voiture estimée à 8 000 € sans expertise, mais dont la cote réelle est de 20 000 € après restauration, ne sera remboursée qu’à hauteur de la valeur déclarée initialement.

3. Expertise automobile : comment ça fonctionne concrètement

L’expertise peut être réalisée :

  • par un expert indépendant inscrit sur la liste nationale

  • ou via votre compagnie d’assurance, si elle propose ce service

💡 À noter : une expertise contradictoire peut aussi être demandée si vous n’êtes pas d’accord avec l’estimation fournie.

L’expert inspecte :

  • l’état mécanique et visuel du véhicule

  • la correspondance des numéros de série

  • les travaux effectués ou à prévoir

  • les factures d’entretien ou de restauration

Cette évaluation permet de produire un rapport officiel servant de base à la souscription d’un contrat spécifique pour voiture de collection.

4. Combien coûte une expertise et à quelle fréquence la faire ?

Les tarifs varient selon l’expert et la complexité du véhicule, mais on estime :

  • entre 150 € et 300 € pour une expertise classique

  • parfois plus si le véhicule est rare ou nécessite un déplacement

⏱ Fréquence recommandée : tous les 2 à 5 ans, ou après une restauration significative.

💬 D’après service-public.fr, « certains contrats d’assurance pour véhicule de collection imposent une expertise régulière pour maintenir une valeur agréée ».

5. Quelles assurances auto acceptent une valeur d’expertise ?

Certaines compagnies spécialisées dans les véhicules de collection permettent de garantir le véhicule sur la base :

  • d’une valeur agréée (convenue entre vous et l’assureur)

  • ou d’une valeur d’expertise (fournie par un professionnel)

🎯 Astuce : veillez à bien lire les clauses du contrat pour savoir si l’assureur tiendra compte de cette valeur en cas de sinistre total.

👉 Une bonne couverture dépend donc directement de la qualité de l’expertise initiale.

Sous-estimer l’importance d’une expertise professionnelle, c’est prendre le risque de mal protéger un bien souvent précieux, rare et sentimental. Une voiture ancienne mérite d’être assurée à sa juste valeur. Un rapport d’expertise sérieux est la meilleure garantie pour obtenir une indemnisation cohérente avec la réalité.

Erreur 5 : Ignorer les garanties indispensables pour une bonne couverture d’assurance auto collection

Assurer un véhicule de collection ne se résume pas à souscrire un contrat classique. Ces voitures anciennes, précieuses par leur rareté, leur histoire ou leur état exceptionnel, méritent une protection sur mesure. Pourtant, de nombreux propriétaires négligent certaines garanties essentielles, exposant leur bien à des risques évitables. Voici les cinq erreurs les plus fréquentes à éviter pour bénéficier d’une protection optimale.

1. Oublier la garantie en cas de sinistre non responsable avec un tiers non identifié

Les véhicules de collection sont souvent stationnés dans des lieux publics lors de rassemblements ou d’expositions. En cas de dégradation par un tiers non identifié (rayures, vitres cassées, vol partiel), l’absence de garantie “dommages tous accidents” ou “collision avec tiers non identifié” peut laisser le propriétaire sans indemnisation.

🔍 Selon le site de la Sécurité Routière, “les contrats au tiers ne couvrent que la responsabilité civile. Pour bénéficier d’une protection étendue, des options complémentaires sont nécessaires” (source : securite-routiere.gouv.fr).

2. Ne pas inclure la garantie incendie et vol spécifique aux véhicules de valeur

Les modèles anciens attirent l’attention… y compris celle des voleurs. Si votre contrat n’intègre pas une couverture contre le vol et l’incendie adaptée à la valeur réelle du véhicule, les conséquences peuvent être dramatiques. Certaines compagnies proposent des formules spécifiques “collection”, tenant compte des particularités de ces voitures.

✅ À vérifier :

  • garage fermé exigé ?

  • alarme obligatoire ?

  • déclaration auprès d’un expert ?

3. Sous-estimer l’utilité de la garantie assistance 0 km pour les véhicules anciens

Même si vous ne roulez qu’occasionnellement, une panne peut survenir dès les premiers mètres. Or, la majorité des contrats d’assurance auto classiques ne couvrent le remorquage qu’au-delà de 50 km du domicile.

🚗 Pour un véhicule ancien, souvent fragile, l’assistance 0 km est une garantie presque indispensable. Elle prend en charge le dépannage immédiat, sans condition de distance, ce qui peut éviter des frais importants.

4. Faire l’impasse sur la garantie valeur agréée par un expert indépendant

L’un des pièges les plus courants : croire que la valeur de marché suffit. En réalité, les assureurs ont besoin d’une valeur agréée pour bien indemniser en cas de perte totale.

📝 Cette évaluation, faite par un expert automobile reconnu, permet de fixer une somme précise, validée contractuellement, qui servira de base à tout remboursement futur. Ce processus est recommandé notamment par le site officiel de l’Union Professionnelle des Experts Automobiles (source : upexpert.com).

5. Négliger la garantie responsabilité civile lors des événements ou rallyes privés

Participer à un rallye ou un événement de collection expose à des risques spécifiques. Une assurance classique ne couvre pas toujours les dommages causés lors d’événements non encadrés légalement ou sur circuit.

📣 Avant tout rassemblement :

  • vérifiez que votre contrat couvre les événements automobiles privés ;

  • demandez une extension temporaire de garantie si nécessaire.

⚠️ Le site service-public.fr précise que toute participation à une manifestation peut nécessiter une couverture adaptée et une déclaration préalable auprès des autorités locales.

Une bonne couverture pour une voiture de collection va bien au-delà de la formule de base. Chaque garantie doit être réfléchie en fonction de l’usage réel du véhicule, de sa valeur, et des risques spécifiques. Anticiper ces besoins, c’est protéger un patrimoine unique, souvent chargé d’émotion autant que d’histoire.

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